Un cauchemard terrifiant... Elle panique, aidez-la ! / LB Humains

Dans mon rêve, je dormais tranquillement. Je faisais un beau rêve : j'étais en train de galoper avec de nombreux autres chevaux, quelques troncs se trouvaient ça et là. Il étaient hauts, mais pourtant je pouvais les sauter. C'était comme-ci j'étais sans limites. Mais je revint à la réalité. Je ne pouvait plus faire ça. A cause de cet entraîneur. Je pouvais toujours sauter, mais je ne savais plus. Je ne savais plus quelle hauteur ne risquait pas de me blesser, laquelle le pourrait. Il falait qu'un cavalier me le montre. Mais ce sont des incapables. Tous. Une fille à voulu me rammener et m'a montré le résultat ce ce qu"IL" à fait. "IL" a fait une étincelle, me regardant, puis redardant les autres, puis "IL" à brulé le tas de paille fraîche. Enfin, "IL" à mis le feu à la porte de l'écurie. En croisant son regard, je fus choquée, terrifiée. Il me disait quelque chose.... Enfin, prise d'un coup de chaleur, je me réveilla. (toujours dans mon rêve) La barrière de mon pré avait pris feu, puis les arbres, poutant éloignés de celle-ci. Le feu se rapprochait de moi à toute vitesse. Paniquée, je me cabra. Je me retourna et remarqua que j'étais entourée des flammes. Je poussa un hennissement strident. (Dans mon rêve et dans la réalité). J'enchaînais les ruads, les coups de culs, mais le feu s'approchait toujours. Et "IL" était là. Sur la barrière en feu, à me regarder, en riant. Je feu n'était plus qu'à quelques centimètres de moi. J'hennit à nouveau. Dans quelques secondes, je serais morte, brûlée, devant "LUI". Le feu s'apprêtait à me toucher....

Je me réveilla en sursaut et me releva. Je poussais des hennissement terrifiés, de plus en plus petits. J'étais remplie de sueur, de la tête à l'atache de la queue. Toujours pas remise de mon cauchemard, je me cabra plusieurs fois. Je tremblais. Je n'en pouvais plus. Depuis le jour de l'incendie, je n'arrivais plus à dormir sans faire ce cauchemard. Et bien sûr, ces lâches qui n'avaient rien fait pour nous sauver et -... A si, peut-être un ou deux, je crois... - n'éssayaient pas de m'aider, de NOUS aider. Epuisée, ne tenant plus sur es jambes (je ne mangeais plus mes granulés depuis un ou deux jours), je m'effondra dans l'herbe. Il falait qu'on me soigne, et rapidement. Mon souffle était toujours sacadé, ma transpiration dense, et je tremblais toujours autant. Malgré tout, pour la première fois, j'étais prête à accepter la présence d'un humain. Je savais qu'ils étaient ma dernière chance. Je voulus me relever. J'essaya plusieurs fois. Je n'avais plus du tout de force. J'appela, j'appela, j'appela. J'avais besoin d'aide. Autant pour me soigner que pour me calmer. Mais il n'y avait tooujours personne, alors je recommença. Cinq minutes après, je vis une sillouette s'approcher. Alors je laissa tomber ma tête dans l'herbe douce et fit confiance à cette sillouette inconnue. Maintenant, mon avenir reposait entre ses mains, mais plus entre mes sabots.

[désolée du retard, je ne pouvais pas répondre :| ]

L'homme, car c'était un homme, s'approcha de moi rapidement. Je restais à le fixer, à la fois inquiète, triste, effrayée, et reconnaissante. Pourquoi reconnaissante ? Parce qu'il était là près de moi, qu'il à répondu à ma détresse. Et parcequ'il a essayé de nous aider dans les boxs.... Je l'ai vu, avec une fille qui était aussi inquiète pour son chien. Je m'en rapelle, maintenant. Il posa la main sur moi. Un frisson parcouru tout mon corp à partir de là ou il me caressait. Poussant un soupir, j'essayais de chasser les souvenirs de l'incendie pour me calmer. Enfin, je me rendis compte qu'il me parlait. Au moins un homme doux.... Je le regarda à nouveau, de plus en plus calme. Mais toujours, au fond de moi, terrifiée. Ma respiration devient plus "normale", mes battements cardiaques aussi. Mais je transpirais, je tremblais toujours autant. Pas à cause de sa présence, mais celle de.... De "LUI". Il était là, à me regarder en ricannant. Il ne faisait pas attention à notre sauveur, notre sauveur à nous les chevaux, qui était près de moi. "IL" sourit, un sourire sadique laissant ses dents à découvert. Je plaqua les oreilles en arrière, mon état redevenant comme juste après mon rêve. Ou plutôt mon cauchemard. J'essayais de montrer à l'homme qu'"IL" était là, mais je n'en avait pas la force. Alors je me contenta de le fixer méchament. "IL" secoua la tête de droite à gauche, et grâce à mon ouïe fine, j'entendis ce que ce "MONSTRE" souffla entre ses dents :
Et "IL" s'en alla. J'étais petrifiée. Personne, aucun humain ne savait qui était celui qui avait incendié le haras. Mais moi je sais. Je pense savoir même exactement son identité. Mais à chaque fois, il était trop loin pour que j'en sois sûre. Je soupira de désespoir. Je ne savais plus quoi faire. Je ne savais plus si je devais vivre ou mourir. Je ne savais plus rien. J'étais incapable de me concentrée, incapable de rester calme plus d'une minute. Car je sais qu'"IL" traine toujours dans le haras. Qu'il est là, à attendre ma mort, et sûrement celle des autres chevaux. Sûrement....