La beauté est une source inépuisable de joie pour celui qui sait la découvrir.[LB]

La veille de son entrée dans le Haras du Clos, la jeune propriétaire de Veldra avait décidé de tout de même panser la jument. Celle ci lui fit un bon pansage et ses crins furent démêlés. La jument n'avait plus qu'à embarquer. Malgré le niveau peu élevé de sa jeune propriétaire, cela semblait être une déchirure pour l'une comme pour l'autre, car malgré que la jument testait sa cavalière, au fond elle appréciait les moments de pansage, les moments des grattouilles. Mais quand, l'un n'est pas compatible avec l'autre, c'est mieux comme ça.
Le lendemain, au alentour de 9h, un camion fit son entrée dans la cour du centre. La jument était dans la cour déjà préparé, la jument toujours propre, avec des guêtres de transport de couleur choco/ciel. La jument avait un magnifique licol en cuir, ou son nom d'élevage était inscrit sur le montant droit, et sur la muserolle était inscrit son nom. La jument ne monta pas de suite dans le camion. Mais au bout de 10 minutes, la jument pie monta sans aucune difficulté, elle fut attaché à un anneau, puis un baflan fut installé pour garder la jument en place. Elle ne risquait pas de se blesser, parce que le voyage allait être long.

Durant le trajet, la jument pouvait profiter d'un filet de foin qu'on lui avait installer. Les premières minutes, elle ignorait celui ci, puis finalement elle mangeait son foin en toute tranquillité. La jument pie était campé sur ses postérieurs pour éviter de bouger le moins possible, l'air se recycler grâce aux ouvertures qu'il avait. Au bout d'une heure, la camion s'arrêta. Deux humains sortirent, deux hommes plutôt fort, l'un deux donna de l'eau à l'a Oldenbourg qui ne le refusa pas. Une bonne pause s'était imposé.
Une heure plus tard, le camion entra dans une allée, au bout de cette allée, une cour, enfin !! Elle était arrivée dans son nouveau chez elle, la jeune jument pie dressa son encolure, ses naseaux firent leur apparition sur les ouvertures, la jument ne voyait pas encore ou elle était, mais la simple odeur de chevaux, la rassura. La jument fut maintenant impatiente, elle se mit à hennir et à se dandiner, seul son baflan l'empêchait de se tourner. Au final, le camion finit par s'arrêter. Un homme sortit, le plus fin des deux, il fit descendre la plateforme, ainsi la Oldenbourg pu avoir un aperçu de ce nouvel endroit. Elle frétilla des naseaux lorsqu'elle vit cet homme. L'homme assez jeune, s'approcha de la jument sans crainte, de toute façon il ne risquait rien, la jument n'était pas un brin méchante. Au contraire, elle appréciait la compagnie humaine. D'ailleurs, lorsqu'il tentait de détacher la jument, celle ci mit son gros nez au milieu, l'homme ria.

- Veldra, laisse moi te détacher

Dit il à la jument en rigolant. Il caressa la jument, le baflan se détachait du côté tête de la jument, ensuite, il la fit tourner vers l'avant, maintenant on pouvait voir apparaitre la magnifique robe et la morphologie de cette jument de sport. Elle s'approchait du plateforme accompagnée, sans rochigner, elle mit un antérieur puis descendit rapidement de la plateforme. Sous ses sabots, elle pouvait sentir le sol couvert de graviers. La jument prit un allure grâce, elle se mit à danser, tournant autour de l'homme qui la tenait en longe.

-Calme toi Veldra !!

Il caressa la jument sur l'encolure, puis il fit marcher la jument attendant que quelqu'un vienne la chercher. Pour faire passé le temps, le jeune homme emmena la jument dans un coin ou l'herbe semblait arriver à pousser. Veldra ne se fit pas prier, elle baissa la tête, ses lèvres parcouraient l'herbe avec délicatesse, choisissant l'herbe la plus tendre. Puis tout à coup, quelqu'un semblait arriver, la jument mangeait mais ses oreilles pivotaient pour détecter tous les bruits aux alentours. Celle ci semblait avoir entendu des pas, sa tête haute, oreilles pointées en avant, elle cherchait d'où provenait ce bruit.

[j'espère que tu était d'accord pour que je réponde >_< ]

C’était le jour J. Cela faisait tout juste quelques jours quel avait aménagé avec sa famille en France, et elle allait dans un nouveaux centre équestre que d’impatience…
7.00 Le réveil sonna. Elle s’étira telle un chat, et poussa un cri grave comme celui d’un lion a son réveil. Vêtu d’un simple t-shirt, elle se dirigea vers la salle de bain afin de se laver, mais aussi de se réveiller. Elle ouvrit la porte, se déshabilla, alluma le jet de la douche glissa sa main pour sentir la température. Elle était ni trop chaude ni trop froide. Elle y mis un pied puis l’autre, se mouilla le corps et la cheveux. Elle éteint l’eau, se savonna, et ralluma l’eau pour se rincer, elle sorti, se sécha se lava les dents, le visage, mis de la crème et se mis un touche de maquillage.

7.30 Direction la cuisine elle pris quelque gâteau, et, les glissa dans son sac. Elle retourna dans sa chambre et s’habilla. Elle enfila un jean un t-shirt, sorti sa valise, la place a l’entré. Elle alluma son ordinateur portable s’assis sur son canapé, le posa sur ses genoux, et regarda l’heure des cars, puis des train, et encore des cars… ça allait être un vrai parcours du combattant, et pire, car si elle rate le bus, elle rate tout!!

7.50 Un bisous a chacun de ses deux beaux parents, a ses deux demis frères et sœurs et s’éclipsa de la maison le plus silencieusement possible!

- Oh! Merde!!

Eléonor se mis à courir plus vite que prévu avec sa valise et son sac. Ouf! Elle avait bien failli le rater celui là!! Enfin, elle était maintenant là, assise, encombré de partout.

Les heures défilaient et la fatigue se sentait. Elle avait passer toutes sa matinée dans les transport et une bonne parti de l’après midi! C’était à présent la dernière ligne droite avant d’arriver au HARAS DU CLOS! quand le bus s’arrêta elle marcha pendant 5 où 10 min et elle arriva devant l’entrée… elle poussa la porte et pénétra dans la cour!!

- Wouhaaaaaaa! C’est magique…

Les yeux écarquiller les regarda autour d’elle… quand tout à coup son regard s’arrêta sur une jument splendide qui broutait de l’herbe avec un jeune homme… Elle marcha lentement pour ne pas déranger mais, elle s’y approcha quand même, a peine avait t’elle faisait 3 pas que la jument leva les oreilles et regardait les alentours…

[J'espérais que tu répondes xD]

La jument avait bel et bien entendu un bruit dans le coin, sa tête enfin plutôt son regard observait les alentours. Elle pouvait découvrir l'espace de l'endroit, d'ailleurs c'était si naturel. Et encore elle ne voyait qu'un petit bout de l'endroit, son nouveau chez elle. Enfin !! Elle cherchait toujours ce bruit, d'ailleurs ses oreilles pivotaient dans tous les sens, jusqu'au moment ou elles restèrent figés vers l'endroit du son. La jument pie tourna la tête, elle pu ainsi découvrir que ce son était des bruits de pas, car plus loin une humaine s'approchait lentement mais sûrement de la jument et de celui qui la tenait. La jument se mit à piétiner le sol comme pour montrer sa joie et son impatience, alors qu'elle ne venait tout juste d'arriver, elle était presser de travailler avec son nouveau cavalier.

La jument piétinait le sol avec délicatesse, car peu de poussière se formait. La jument tendit sa tête, elle était sûrement impressionnante pour certains humains, car elle avait une morphologie bien proportionné et pouvait s'imaginer la force qu'elle pouvait avoir, seulement elle ne l'utilisait pas contre l'humain. Elle aimait bien s'amuser avec les humains, mais à sa façon et cela ne faisait jamais bon ménage. D'ailleurs, durant sa vie elle s'était des petites baffes mais cela ne l'avait pas perturbé pour autant, c'était en général, parce que madame Veldra avait décidé qu'elle allait mordiller, ou qu'elle allait faire une bêtise, mais le plus souvent elle restait sérieuse.

Elle avait été éduqué dans le respect, donc celle ci était jument sans vice, enfin du moins, car madame testait tout de même son cavalier lorsque celui ci lui montait sur le dos, rien de bien méchant. Enfin !! Elle piétinait le sol, oreilles pointées en avant, elle était impatiente que l'humain lui fasse quelques câlins. Elle tenta de faire un pas, mais la longe se tendit, la pression se fit sur son licol et la jument n'insista pas même si l'envie était plus forte. Elle tentait d'attendre patiemment que l'humain s'approcha.