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à cinq ans, abraxàs se passionna pour l’équitation. obtenant toujours ce qu’il voulait de la part de ces parents, ils furent d’accord pour qu’il pratique ce sport dangereux mais tellement envoûtant. oui, il avait finit par faire de la facilité de ses parents à accorder quelque chose un atout. à dix ans, le jeune homme ne s’était toujours pas tourné vers un autre sport se trouvant un vrai don pour l’équitation. ses moniteurs le disaient et étaient étonnés de la progression si rapide du jeune garçon. il possédait déjà son galop trois. à cette vitesse, il pourrait commencer les grands concours plus tôt ; ce qui, je ne vous le cache pas, se passa.
à vingt ans, tout ses galops et diplômes en poche, l’italien connaissait un franc succès sur les terrains de concours d’italie, d’espagne, du portugal et un peu de france. il rencontra d’ailleurs sur les terrains de concours français une jeune femme qui attira tout de suite son regard. elle avait dix huit ans et s’appelait hemëeryis. les deux jeunes accrochèrent bien tout de suite. ils se revirent quelques fois. et d’un coup, sans en savoir les raisons, elle disparue des concours. pourtant, elle était douée, très douée. jamais depuis cette rencontre, il ne l’oublia. elle lui envoya une lettre, une. pour lui expliquer la situation. sa mère l’avait emmenée de force avec elle après le divorce de ses parents. il fut triste à l’idée de ne plus la revoir mais ne l’oublia pas pour autant. elle non plus.
il continua les compétitions jusqu’à vingt huit ans. à cet âge là, il décida de se rendre en france, au haras du clos. il voulait devenir professeur de cso et fut accepté. il décida cependant de ne pas laisser tomber les compétitions. ce qu’il ne savait pas en allant là bas, c’est qu’il retrouverait hemëeryis…