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Date d'inscription : 31/07/2010
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 |  Sujet: Azalea ◊ They felt like destroying something beautiful. Sam 12 Mar - 14:43 | |
| « Azalea Lux Maxime Castle-Knight » 21 ans ♣ demoiselle ♣ élève ♣ complet « Une femme est capable des pires folies pour allumer la passion. Sauf que moi, je fuis devant l'incendie. »  (© blackbird)♦ i need to know more about you.  date & lieu de naissance; 13 mai 1990 ; Phoenix (Arizona)
nationalité; Naturalisée Française.
taille; Un mètre soixante douze.
discipline favorite; Complet.
carrière de compétition;
 (© tumblr )♦ hey you! look at me and my character. caractère; Azalea, ou le remède anti-morosité par excellence. Souvent de bonne humeur, toujours énergique, avec elle pas question de rester sans rien faire. Contrairement à ce à quoi on pourrait s'attendre en connaissant un peu son passé, elle ne supporte pas de rester à se morfondre, encore moins quand c'est sur son sort. Elle considère avoir déjà assez souffert pour ne pas se gâcher le reste de l'existence avec ça. C'est aussi pourquoi il ne faut pas compter sur elle pour vous plaindre quand vous avez un petit souci. Sur ce point, elle est assez dure. Vous tapoter le dos pendant que vous pleurez, ça va bien cinq minutes, mais pas plus. Elle aura plus tendance à vous relever, et à vous bousculer un peu pour que vous vous bougiez. Les pleurnichards, ça ne passe pas. Elle a besoin de bonne humeur, ou mieux, d'action. A défaut de vous plaindre, elle fera tout ce qu'elle peut pour vous faire oublier. Fêtes, sorties, activités... Elle n'est jamais à court d'idées, même si la plupart sont à la limite de l'acte irréfléchi.
Et les actes irréfléchis, elle s'y connait. Sa devise, c'est de profiter de la vie tant qu'elle peut, par quelque moyen que ce soit, et quelques en soient les conséquences. Pour elle, un bain dans un lac en plein mois de janvier n'a rien d'anormal. Ne vous étonnez donc pas si pour votre anniversaire, elle vous offre deux billets pour un saut en parachute. Tout ce qui est adrénaline, elle adore. Tout comme les défis. Elle ne manque jamais de les relever, quels qu'ils soient. Ce qui explique cette passion qu'elle a pour les chevaux en difficulté, traumatisés ou mal dressés. A eux seuls, ils combinent le risque, les défis, et sa passion. Autant dire que le Haras est pour elle une aubaine.
Un peu gamine, elle a parfois des réactions inhabituelles. Elle est assez imprévisible, et quand elle force le trait, carrément désorientante. Elle est capable de changer six fois d'avis en moins de deux minutes sans aucune influence extérieure. Choisir est pour elle un calvaire. Du coup, soit elle ne choisit pas du tout, soit elle prend tout. Ce qui peut parfois donner de petits problèmes. Séductrice, elle a tendance a aimer quelqu'un l'espace de quelques jours, voir moins. Elle se lasse assez rapidement, en fait, et une fois que la personne en face d'elle ne présente plus assez d'intérêt pour attirer sa curiosité, et la laisse en plan. Pire, elle a une mémoire en gruyère. Elle peut passer une soirée avec vous et bien s'amuser, mais vous avoir complètement oublié une semaine plus tard. Il est compliqué de la marquer, et il faut vraiment sortir du lot pour qu'elle imprime votre nom et votre tête dans un coin de son cerveau.
Avec les chevaux, elle ne change pas vraiment. Elle a un peu tendance à tous les aimer, petits, grands, bais ou pies, sans papier ou purs sang. D'ailleurs, elle a toujours craqué devant les shetlands, même si il est hors de question qu'elle leur grimpe dessus. Prévoyante avec eux, elle n'oublie jamais une visite vétérinaire. Plus partisane de l'équitation éthologique que de la monte classique, elle passe beaucoup plus de temps à côté de son cheval que dessus, ce qui ne l'empêche pas d'avoir un très bon niveau. Elle considère que le lien avec le cheval passe au dessus de ses performances. C'est pourquoi elle apprécie de travailler avec des chevaux en difficulté ou traumatisés, parce qu'elle sait que comme elle à un moment de sa vie, ils ont besoin de quelqu'un. Et si pour elle, ça a été son frère, pour ses chevaux, ce sera elle. Très douce, elle peut parfois passer pour une cavalière laxiste, mais quand on y regarde de plus près, on peut remarquer que le travail est toujours fait, et que jamais les chevaux dont elle s'est occupée n'ont pris de mauvaises habitudes, au contraire. Elle a aussi l'habitude d'utiliser des licols très rarement avec les chevaux qu'elle connait. De son point de vue, l'équitation est une collaboration, et à partir du moment où un cheval vous fait confiance, on a plus besoin de lien matériel pour le forcer à venir. C'est une philosophie un peu étrange, mais force est de constater que pour le moment, elle fait ses preuves.
physique;Il suffit d'une photo pour s'en rendre compte : Azalea n'est pas le genre de fille qu'on oublie facilement. Une silhouette élancée, des jambes à en faire pleurer une top model... elle a quelques atouts. La plupart sont permis par la pratique régulière d'activités physiques. Jogging, natation, l'exercice ne lui fait pas peur, tant que le sport lui plait. Elle n'est pas du genre à pratiquer le sport pour le sport, mais pour le plaisir. La musculation ou pire, l'athlétisme sont donc à bannir pour elle. Mais revenons à nos moutons. Puisque nous avons commencé par le bas, remontons : une taille fine, une poitrine respectable (ça se dit pas, mais elle fait du D), et un peu plus haut, deux yeux à vous retourner la tête et le cœur. D'un vert clair qui pourrait être assez étrange, ils sont toujours illuminés par une petite étincelle, révélant au choix de la bonne humeur ou de la colère. Son visage aux traits fins est encadré d'épaisses mèches blondes, ou brunes selon ses envies du moment. Enfin, mèches. Elle désigne plutôt ça comme une crinière. Le genre de truc passablement indomptable, rebelle à faire peur. Il n'est donc pas rare de la voir avec une queue de cheval, cheveux tirés en arrière : c'est le seul moyen pour elle de ne pas les avoir dans les yeux. Ça a d'ailleurs occasionné un léger tic. Quand elle a les cheveux détachés, elle y passe la main vers l'arrière toutes les cinq minutes environ.
smile; - Spoiler:
crédit et/ou url de la page précise de votre photo ou site;
avatar; Amber Heard <3
histoire;
« N'est-elle pas ravissante ? »« Bien sûr, mon ange... Elle a tes yeux. Tu as fait ton choix pour le prénom ? » Une moue contrariée se dessina sur les lèvres de la jeune mère. Elle n'était pas vraiment sûre que ça plaise à son mari. « Azalea... »Un murmure bas, un souffle plus qu'une parole. L'intéressé leva un sourcil surpris.« Azalea... Je veux dire, tu en est bien sûre ? C'est un peu... étrange, comme prénom, tu ne trouves pas ? » « Non. Je ne veux pas d'un prénom banal. Pas de Léa, de Marine ou de Manon. Je veux qu'elle soit unique. » Il referma la bouche qu'il avait ouverte pour répliquer, et posa sur la jeune femme un regard tendre. Il ne pourrait pas la faire changer d'avis. Elle était plus bornée qu'une mule quand elle avait décidé quelque chose. Et puis, il aurait dû s'y attendre, ce n'était pas son genre de faire dans la simplicité. Elle ne connaissait rien d'autre que l'originalité poussée à son extrême. Alors il ne dit rien, et acquiesça simplement avec un sourire. La jeune femme lui rendit un sourire rayonnant, et parla à l'intention de la sage femme qui venait juste de rentrer. « Ce sera Azalea. Azalea Lux Maxime Castle-Knight. »
*
« Mamaaaaaan ! Maman ! Keryan il essaye de mettre Babouche dans la poubeeeeeelle !» La voix indignée de la petite fille résonnait dans la maison. Keryan, son grand frère, âgé d'un an de plus qu'elle, soit actuellement 5 ans. Babouche, le chat de la maisonnée. « C'est pas vraiiiiiii ! » La voix faussement angélique du petit garçon résonna à son tour. La chat profita de ce moment d'inattention pour filer aussi vite qu'il pouvait, bientôt poursuivi par Keryan. La pauvre bête en voyait de toutes les couleurs, entre la petite fille qui le maquillait avec les produits de sa mère, et le petit garçon qui lui faisait subir toutes les misères du monde. Et c'était comme ça tous les jours. Les deux enfants avaient beau s'adorer, ils se chamaillaient à longueur de temps. Azalea était devenue une petite fille adorable, avec de grands yeux verts et des boucles blondes. Elle ressemblait à sa mère, tandis que son frère, lui, ressemblait à son père, un grand brun taillé comme une armoire à glace. La petite famille vivait dans la banlieue de Phoenix, en Arizona. Ils représentaient la famille de classe moyenne typiquement américaine, avec une mère infirmière et un père commercial. Leur vie était aisée, sans pour autant qu'ils roulent sur l'or. Mais ça suffisait, et ils étaient plutôt heureux. Az' manifestait déjà une grande admiration envers les chevaux, sans jamais pourtant avoir eu l'envie de monter sur l'un d'eux. Quand on lui demandait pourquoi elle répondait invariablement qu'un cheval était plus beau libre, et qu'il ne fallait donc pas tout gâcher en cherchant à les dresser pour leur grimper dessus. Selon elle, "après ça fait pas joli".
*
« Az' ? Az, il faut que je te parle. » Quatorze ans. L'âge ingrat, comme on dit. Et si elle n'avait pas trop de problèmes cutanés, ceux du caractère étaient par contre bien présents. Râleuse, insoumise et provocante, elle avait de plus en plus de mal à accepter une quelconque autorité. Son frère, Keryan, avait toujours été plus mature. Pour tout le monde, c'était l'exemple qu'elle devait suivre à tout prix. Après tout, il avait tout pour lui. Gentil, intelligent, cultivé, sportif, et mignon par dessus le marché. Il fallait bien l'avouer, elle était un peu jalouse de lui, malgré tout l'amour qu'elle pouvait bien lui porter. Elle, était toujours survoltée, révoltée, et plein d'autres mots en -ée. Par contre, elle était douée avec les chevaux. Elle avait commencé à apprendre l'éthologie et l'esprit western il y avait quelques années de ça, refusant toujours de monter à cheval. Elle était passionnée par ces bêtes, et pour elle, le lien avec un cheval comptait plus que n'importe quel travail. Ces moments avec les chevaux lui permettaient de décompresser, et de relativiser un peu. D'oublier tout ce qu'elle considérait comme des problèmes existentiels, comme cette jalousie incompréhensible envers son frère, la personne qui comptait le plus au monde pour elle. Mais quand il rentra dans sa chambre ce soir là, avec cet air dévasté et les mains tremblantes, elle oublia tout. Elle le prit dans ses bras, et ils s'assirent tous les deux sur son lit. Elle était persuadée que ce qu'il avait à lui raconter n'était qu'un chagrin d'amour, ou bien un problème au collège, quelque chose comme ça. Mais pour la première fois de sa vie, elle vit une larme couler sur sa joue. Elle ne l'avait jamais vu pleurer. Une boule d'appréhension se serra violemment dans son ventre. « Keryan... Qu'est-ce qui se passe ? »« C'est maman... » Cette fois ci, il pleurait franchement, et rien que le fait de le voir triste à ce point déclencha chez elle aussi des larmes. « Elle a eu un accident de voiture... un chauffard à contre sens...l'a percutée... Az', elle est morte ! » Elle eut un hoquet de terreur, et elle eut l'impression de recevoir un coup de poing phénoménal dans le ventre. Leur père était resté à l'hôpital, il ne rentrerait que demain matin. Après une heure de larmes ininterrompues, Keryan repartit dans sa chambre, laissant sa sœur dans la sienne. Elle se glissa sous les draps, cherchant l'oubli du sommeil. Elle n'avait plus de mère. Plus de mère. Ces mots tournaient dans sa tête, l'empêchant de dormir. C'est ainsi que pour la première fois de sa vie, elle se retrouva à vouloir dormir avec quelqu'un d'autre. Dans ce grand espace vide, elle se sentait terriblement seule. Sans allumer, elle sortit donc de sa chambre, et traversa le couloir pour se retrouver dans celle de son frère. Sans un bruit, elle se glissa sous la couette. Il ne dormait pas, sa respiration était trop rapide. En un clin d'œil, elle se retrouva entre ses bras. Les pensées qui tournaient violemment dans sa tête semblèrent se calmer, et son souffle retrouva un rythme normal. Elle se détendit enfin, collée contre son frère, et finit par tomber dans les bras de Morphée.
*
« Eh, mec ! On m'a dit que tu connaissais cette fille, là bas, et que tu passais du temps avec elle. Tu sais, la blonde, la capitaine de cheerleaders. Bah, jme disais, tu pourrais partager un peu, hein ! Tu me la présenterais ? Parce que, tu vois, elle est sup... » « Touche-la, et tu mangeras avec une paille pour le restant de tes jours. » Les deux jeunes hommes se trouvaient dans le couloir du lycée, observant avec une discrétion toute relative Azalea, la blonde en question. Ils faisaient touts deux partie de l'équipe de foot du lycée, et l'un d'eux étaient Keryan. L'autre était trop paumé pour avoir remarqué leurs noms de famille similaires.« Ouhlà, c'est chasse gardée à ce que je vois. Pas la peine de t'énerver. »« C'est ma sœur, pauvre crétin. » Voilà qui closait la conversation. Surtout qu'Azalea les avait repérés, et se dirigeait maintenant vers yeux, le sourire aux lèvres. Elle avait bien changé. Fini la gamine rebelle, elle avait grandi. Enjouée, souvent de bonne humeur, mais tout de même un peu irritable, les années l'avaient transformée. Elle avait en effet désormais 17 ans, 18 pour son frère. Après le choc de la mort de sa mère passé, elle avait décidé qu'il fallait profiter de la vie au maximum, puisque elle pouvait s'arrêter à tout moment. Son frère lui, avait un peu peur de ce nouveau crédo, et était devenu un peu plus protecteur. Ce pourquoi les garçons parvenant à l'approcher étaient rares. « Salut Kyri. Et... salut toi. » « Arrête de m'appeler Kyri, sinon je t'appelles Azounette. » « Tu n'oserais pas attenter à la réputation de ta cheerleader de sœur avec ce surnom ridicule, n'est-ce pas ? » « Tu n'oserais pas attenter à la réputation de ton footballeur de frère avec ce surnom ridicule, n'est-ce pas ? » « Moi c'est Lucas ! » Elle lui adressa un petit sourire. Il avait l'air gentil, mais toute personne se trouvant près de Keryan avait tendance à être éclipsée par ce dernier. Bon, d'accord, pas très objectif comme point de vue, mais quand même. « Génial. Bon, ben on va y aller, hein ! A plus ! » Et le duo s'éloigna. En temps normal, Azalea aurait filé au haras. Mais depuis quelques temps, le lycée prenait une place envahissante dans sa vie. Devoirs, cours, cheerleading, fêtes... Il ne se passait pas un jour sans qu'elle voie ses amis lycéens. Et son indépendance criait au scandale. L'équitation lui manquait, indéniablement.
*
« Les enfants, on déménage. » « Géniaaal ! On va où ?! » « Az, arrête de hurler. Tu sais, Lucas vas être teeeeeellement triste de ne plus te revoir. » « ... C'est qui Lucas ? » « Mais taisez - vous, pour l'amour de dieu ! » Azalea lança un regard meurtrier à son frère, et se détourna avec une moue vexée. « Nous allons à Paris, en France ! » Un petit tilt se fit dans la tête de la jeune blonde, et une étincelle s''alluma dans ses yeux. Paris ? Paris avec ses boutiques, la tour Eiffel, les macarons, le vin et la gastronomie ? PARIS ? Elle fit volte face, et fila dans sa chambre en criant de joie. Elle avait presque 18 ans, et des réactions un peu étranges. Elle commença à sortir toutes les valises qu'elle possédait, pour y fourrer ses tonnes de fringues. Elle en avait par douzaines, et ce qu'elle avait en valises ne serait probablement pas suffisant. « Euh, tu sais qu'on part que dans un mois ? » Elle se retourna, et fusilla Keryan du regard. Ce dernier était accoudé au chambranle, le sourire jusqu'au oreilles. « Rabat-joie ! » Sur ce, elle débuta la bataille de polochons d'un coup d'oreiller bien placé en pleine tête.
*
Azalea avait repris l'équitation. Et avait enfin l'impression d'être entière. Sur le dos d'un cheval, elle était à sa place. Elle montait dans un petit haras en banlieue parisienne. Là bas, elle prenait non seulement des cours, mais sortait déjà les chevaux en compétition. Elle avait commencé petit, avec des concours interclubs, puis elle avait monté en niveau. Sa licence en poche, elle avait commencé à participer à des départementales, puis à des régionales. Et ça lui plaisait terriblement. Elle s'était prise d'affection pour le complet, qui lui permettait de travailler toutes les disciplines. Certes, ça demandait des chevaux très polyvalents, mais elle adorait ça. Elle avait désormais 21 ans, et à cet âge, elle pouvait déjà se vanter d'avoir participé à des compétitions nationales, et même quelques internationales. Mieux, la plupart du temps, un podium était à la clé. Keryan en venait même à s'intéresser à ce monde là aussi. Il faut dire qu'elle était contagieuse : certains cherchent à convertir pour une religion, elle c'est pour l'équitation. Rien que le fait de la voir à cheval, radieuse, vous donnait envie d'essayer. Arrivée à Paris, elle était en parallèle rentrée aux Beaux-Arts. Elle avait toujours voulu essayer. Le dessin et la peinture étaient deux passe temps qu'elle appréciait. Elle en sortit donc avec le diplôme national supérieur d'arts plastiques, équivalent à un bac + 4. De toute façon, elle le savait très bien, elle ne pourrait jamais exercer un métier normal, tel que comptable ou secrétaire. Les deux seules voies qui s'ouvraient à elle étaient l'équitation ou les arts. L'équitation étant son premier choix.
*
Un sourire plus que radieux illuminait le visage de la jeune blonde, plantée au milieu du terrain de concours. Elle venait de remporter la première place des qualifications pour les championnats nationaux de complet, et rien ne pouvais lui faire plus plaisir à cet instant. Elle avait retiré sa bombe, laissant sa crinière de cheveux blonds à l'air libre. Son cheval au bout des rênes, elle s'apprêtait à le ramener, quand un homme l'interpella. Ils firent un bout de chemin ensemble, et il lui parla d'un haras, en France, permettant aux jeunes cavaliers de se faire une place en professionel. Une demi heure plus tard, sa décision était prise. Elle allait accepter cette proposition, et aller étudier là bas. Sa mère aurait surement voulu qu'elle aille au bout de ses rêves. Que comme elle, elle n'en fasse qu'à sa tête, quitte à prendre au dépourvu ce qui lui restait de sa famille. Sauf qu'entre temps, Serge Cruzot, la personne qui lui avait fait cette proposition, mourut dans un accident. Elle pensa alors que c'était la fin de son rêve. Avant d'apprendre que son fils reprenait le haras, avec une nouvelle dimension : s'occuper des chevaux traumatisés. Pour elle, c'était encore plus parfait. Elle avait toujours préféré s'occuper des chevaux à pied, leur redonner confiance, créer des liens. Et ce depuis toute petite. C'est pourquoi aujourd'hui, elle débarque au Haras du Clos...
♦ STOP! FBI de new york; heu ... du haras du clos; papiers! as-tu lu le réglement?; Que nenni.
vraiment? et le code?; Celui de ma carte de crédit, aussi ?
c'est quoi ton prénom? tu es habitué au rp équin? combien de lignes environ?;Appelle moi "Votre magnificence", ça ira mon poulet. Oui j'y suis habituée, et ça varie énormément selon l'inspiration du moment. Ça peut être minable comme génial. (Et vive la constance.)
t'as connu comment le forum?; Euh, sérieusement ? Ça doit être par crashounette.
tu l'aimes? & le design?; Oui m'dame, et le design est orgasmique <3
quelque chose à reprocher? PARLE!; Non, en fait.
divers?; Vive la renaissance d'HDC :superrien:
formulaire de présentation par wild fire (concepíon l. cruzot). COPIE INTERDITE!
Dernière édition par Azalea L. Castle-Knight le Dim 3 Avr - 11:29, édité 5 fois |
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