Deux mâles ne donnent pas automatiquement un combat [Bacardi :)]

Date d'inscription : 07/02/2012

Voilà quelques jours que j'étais ici, je m'étais assez bien adapter grâce a Adé, mais je ne me suis pas fais un amis encore, j'étais souvent au box ou au pré, je n'avais entreprit aucun exercise et j'avais très hâte de commencer. J'étais dans mon box quand un homme plutôt grand avec un aussi grand visage. Il me parlais avec une voix douce et me rasssura un peu, mais mon impatience se voyait, je donnais des coups de pieds au sol et essayais de mordre. Il me donna une petite tappe sur la fesse et sur le nez à chaque fois que je dérapais, je fini par me calmer un peu. Il me mit une couverture, la mienne qui selon certain me donnait un air plutot chic.. Mouais..chic...

Sinon je me retrouva au pré.. encore!!! Je me dégourdis un peu puis me penchant pour venir croquer quelque brin d'herbe qui essayait de pousser, en vint, je les coupait avec mes dents rapidement et avalais le tout. Je fis cette exercise tout en marchant ici et là pour gober tout ce qui pouvait être gober, mais évidament, il n'était pas seul ici alors les autres avaient passer avant lui et le ferait aussi après. Quand d'un j'entendis du bruit, l'homme qui l'avait enmener, lui enmenait un copain, il se dirigeait droit vers les pré mais bifurqua...rarf...il se dirigeait vers l'autre pré d'à côté. L'homme devait avoir ses raisons de ne pas les mettre ensemble, il avait sentit son odeur de mâle qui avait ses hormones très élever et comme moi aussi j'avait mes hormones monter dans le champignon, aussi bien avoir une cloture qui nous séparent de nos sabots. L'autre avait pourtant toujours ses dents, moi je navais pas l'intention de les utiliser, je ne voyais pas en lui un ennemi à tuer.

Date d'inscription : 03/10/2010

La réputation de combattant vaincu que s'était faite Bacardi lui collait à la peau. Bien que certains invoquent le fait que "face à As de Coeur, il n'avait aucune chance", l'étalon bai sentait bien chez certains humains la peur qui transpirait. Il le regardaient comme un animal agressif, qui devait être craint, flattant par là le côté dominant de Bacardi, qui en profitait pour leur marcher -un peu- sur les pieds.

Ce ne fut pas le cas chez celui qui, voyant que l'étalon s'ennuyait ferme dans son box, eut l'heureuse idée de l'emmener au pré. Il le sortit du box, et l'assurance ferme de cet homme d'âge mûr suffit à calmer les ardeurs de l'étalon. Il lui enfila sa -nouvelle- couverture, couleur sombre, avec le nom du haras, puis l'amena jusqu'à un pré. Il vérifia cette fois soigneusement qu'aucun autre cheval ne l'occupait déjà, puis détacha la longe de Bacardi, qui partit au petit trot.

Dans le pré d'à côté paissait un autre entier, un gris, plus menu que Bacardi. Le bai le scruta un instant, satisfait que cette fois, il y ait une barrière pour faire la loi entre eux. Mais au fond, allez savoir pourquoi, le Hollandais ne voyait pas vraiment l'autre comme une menace. Il arrondit tout de même l'encolure, frappant le sol plusieurs fois avec son antérieur, dans une manœuvre à mi-chemin entre la volonté d'impressionner et le jeu. Est-ce que l'autre y jouerait ? Cela restait à voir.

Date d'inscription : 07/02/2012

Je regardais attentivement ce que le bai entier pouvait bien fabriquer, s'il voulait se battre pour on ne sait quoi ou juste s'amuser un peu. Il était à peine plus grand que lui, ou plus petit, peu importe, je n'aime pas me battre et contre un autre étalon, je préfèrerais lui céder la place plutot que de risquer des cicatrices. L'entier de l'autre côté, se mit à tapper de l'antérieur, le provoquer ? Non, sa ne ressemblait pas à une provocation, mais beaucoup plus à une impressionnante invitation à s'amuser entre étalon. Oh oui, il avait envie de jouer. Je retombais alors en enfance, repenssant à chaque petit geste qu'un poulain fait pour invité au jeu. Je devais par contre changer quelque peu ses petits gestes pour les traduire à la façon étalon. Je baissai alors la tête, pour ne pas qu'il pense que je voulais me battre pour vraie, signe de soumission, ronfla doucement des naseaux et trotta légèrement sur place tout en hénnissant doucement contre lui, laissant échapper un petit nuage de fumer de ma bouche trop chaude pour l'aire ambiante.

- Tu pense m'impressionner ??

Je m'élancais alors vers la cloture comme pour charger contre lui, avant de m'arrêter à moitié chemin et me souleva de terre, me postant sur mes postérieurs, balancant sans méchanceté mes sabots antérieurs, je voulais l'impressionné par ma grandeur et ma robusteste. L'on pouvait entre-percevoir mon ventre cerné de veine par mes membres étiré au maximum. Puis, je perdi pied malheureusement assez rapidement, étant donné que l'équilibre des chevaux dans cette position n'était pas super et que la couverture bleue marin m'empêchait de tenir cette position plus longtemps. Je ronfla des naseaux en montrant les dents avant de reculer et de trottiner ici et là.

- Aller viens jouer !

J'avait envie qu'il court avec moi, qu'il fasse quelques petites courses. Nous pouvions toujours les faire chacun de notre côté, mais ce n'était pas pareille. Malgrè tout j'étais assez content d'avoir un copain avec qui faire connaissance, avec qui même si nos caractère forgé par le manque de stérilisation, nous pouvions nous entendre, enfin je l'espère, pour le moment tout se passait bien et l'étalon baie avait l'air de bien vouloir, lui aussi, faire connaissance.

Date d'inscription : 03/10/2010

L'autre cheval répondit de manière très positive, et ce qui aurait pu être un combat devint alors un jeu. Retrouvant ses attitudes de yearling, Bacardi répondit à l'autre en se dressant lui aussi sur ses postérieurs. Il retomba lourdement au sol et s'ébroua, l'air de dire "même pas peur !". Se soulevant à demi, il secoua la tête puis partit au galop, l'encolure droite. Sa couverture gênait un peu l'amplitude de ses mouvements, mais il était heureux de s'être trouvé un ami pour jouer.

Lorsqu'ils arrivèrent au bout du pré, Bacardi freina des quatre fers, traçant quatre sillons dans la terre meuble. Il s'arrêta tout juste devant la barrière, puis fit brusquement demi-tour, trottinant allègrement. "Attrape-moi si tu peux !"

Ils étaient là, comme des yearlings, à jouer dans leur pré, séparés seulement par une barrière. Il s'arrêta, piaffant, puis partit dans un galop fou et désordonné, lançant plusieurs coups de culs, qui toutefois ressemblaient à des ruades endiablées. Bacardi redécouvrait un plaisir qu'il avait oublié depuis longtemps : avoir un ami. L'autre avait baissé la tête, avait clairement montré qui était le chef. Dès cet instant, la barrière était devenue (presque) inutile.

Il s'arrêta brutalement, s'ébroua, puis repartit dans l'autre sens, continuant sans cesse ce jeu de course.

(court et nul, mais manque cruel d'inspiration ! Désolée x( )

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