Another Cinderella Story, Version horse [Libre]

Tôt ce matin, vers 4heures, Sarah est venue et m'a panser et aussi mit des protections...De l'eau coulait sur son visage, qu'est-ce qu'elle a ?

-Oh...Pedigree, je suis désolée, tellement désolée...Je suis sûre que tu ne me le pardonnera pas...

Sarah est jeune, elle a 19 ans et gère l'association avec Christophe, son père, il est vrai qu'il y a peu j'ai eu un gros coup de fatigue et attrapé une maladie et les écuries ont prit feu...Sans Sarah, j'y serais restée, je lui dois beaucoup j'ai énormément confiance en elle et je sais qu'elle ne me trahira jamais !N'empêche qu'elle m'a enfilé un licol, avant de me lâcher au pré avec Pétale, Rox et Rouky.On a galopé comme des fous jusqu'à qu'un van noir et blanc arrive...Pétale prit la parole :

<Pedi', je crois qu'elle t'a vendue !
-Mais non, elle tiens trop à moi !
-Pétale, elle a raison, elle ne l'a vendrait pas.
-Rox.C'est vrai que Pedi' a raison et Pétale aussi; peut-être qu'elle va vers une nouvelle famille ou écurie !
-Pedigree !Tu vas passer à l'international, ce qui veut dire que tu vas au Haras du Clos...
-Mais je veux pas partir, moi !>

Sarah est venue et m'a attacher la longe puis direction le van, où je cabra.Elle me força à monter avec l'aide des transporteurs et ferma la porte.Dix minutes plus tard, Sarah, les transporteurs et son père sont en voiture...J'hennissais de toutes mes forces espérant que Pétale, Rox et Rouky me répondent...Ils m'ont répondu, je me suis cabrée et donnais des coups de sabots dans la porte.Je me suis endormie --'.

[...]

Quelques heures de routes plus tard, le vent frais de la Normandie se fait sentir, le van passait la grille du haras et se stoppa pour me laisser descendre.En sortant, j'ai galoper et donnais de coups de cul etc...Sarah était là et me regardait avec tristesse.

Même jour, 6h30, le réveille d'Arnaud sonne. Celui-ci l'écrasa de son poing avec force, poussant en même temps un grondement de mécontentement. Ouvrant un œil, il sortit la tête de son oreiller : le soleil pointait déjà derrière les rideaux. Il s'était promis d'aller visiter le Haras très tôt le lendemain de son arrivée. Et se lendemain, c'était aujourd'hui! Il poussa un profond soupir, renfonçant profondément sa tête dans son oreiller. Allé mon vieux, il est temps de se lever! Le corps du jeune homme s'actionna, redressant le torse du matelas. Après un bref étirement, il leva ses fesses du lit, prit la direction de la petit salle de bain, se débarbouilla, s'habilla d'un jean et d'un débardeur gris claire, et sortit de sa chambre.

Arnaud avait prit la direction du club house pour y boire un café, et tout en insérant ses petites pièces dans la machine, il jeta un coup d'œil au panneau d'affichage. Il y avait plusieurs papiers inutile, daté, ou déchirés, mais celui qui attira l'intention du jeune homme était le petit post-it collé en plein milieu. Tout en portant son gobelet en plastique à sa bouche, il arracha le petit bout de papier du panneau. Il y était inscrit « Pedigree : arrive le 5/8 au matin. Merci de pensé à venir la chercher. ». Arnaud jeta un rapide coup d’œil à l’horloge pendue sur le mur d’en face. 7h48, la jument était certainement pas encore arrivée. Il termina son café d’un trait, balança le gobelet à la poubelle et en quelques rapides enjambées, s’échappa du club house. Au bon moment ! Pile quand la porte se refermait derrière lui, un van noir et blanc pénétrait dans la cour. Arnaud s’arrêta alors sur le palier, observant le van s’avancer un peu plus dans la propriété. Pas de hennissement, ni de piétinement, la jument à l’intérieur semblait calme. Le véhicule s’arrêta, quatre personne en descendit : 3 hommes, et une femme. Deux des hommes étaient visiblement des employés de la compagnie de transport, le dernière homme, et la femme, certainement les propriétaires. Arnaud commença à s’avancer vers eux lorsqu’ il vit l’un des employés de transport ouvrit le battant du van pour y pénétrer et y détacher la jument. Mais celle-ci lui échappa, elle partie à fond de train dans la cour, galopant, ruant. Le jeune homme eu un sourire. Vue la vitesse à laquelle elle s’était échappée, la jument ne pouvait être que la petite Pedigree. Il s’approcha de la jeune femme et de l’homme resté un peu en retrait tendit que les deux transporteurs étaient occupé à allé récupérer la jument. Celle ci c’était arrêtée un peu plus loin dans la cour, visiblement troublé par la tristesse de la femme.

- Monsieur, Madame, bonjours. Vous amenez Pedigree, c’est bien cela ?

Reprenant mon galop pour éviter que Pierre, le père de Sarah, ne m'attrape.Galopant de toute ma vitesse, je ne vis pas un bipède vers Sarah et les transporteurs, lorsque je le remarqua je m'approcha, au trot, de Sarah.Pourquoi m'a-t-elle emmenée ici ?Pourquoi Louis m'a maltraité ?Pourquoi des courses PMU ?

-Monsieur, madame, bonjours. Vous amenez Pedigree, c'est bien cela ?

-O..Oui Mais comme vous pouvez le voir, elle est encore un peu amaigris à cause de son ancien propriétaire qui la battait.Le célèbre coureur, qui la montait souvent aux courses PMU, Louis Baudron.Depuis elle est un peu fougueuse et il lui faut du temps pour faire confiance à un humain...

Je n'ai rien compris à part "Louis" et "Baudron" c'est le nom de famille de Louis !Malheur, je suis au haras de Vrie !!Partant avec furie au grand galop,lançant quelques hennissements, Sarah m'a trahie...La jeune blonde, que Sarah était, m'interpella.

-Pedigree !Reviens !Ne crains rien, ma grande.

Elle me suivit, jusqu'à que je me mette à donner des coups de cul par ci par là et cabrer...J'avais peur d'être dans un mauvais endroit.Sarah s'approcha, doucement, de moi pour attraper la longe et me ramener vers le van, me faisant quelques caresses.

-Làààà, ma grande, c'est fini.Calme toi, tu n'as rien a craindre.

Elle m'avait rassurée, mais j'étais toujours un peu affolée.Je l'adore ma Sarah, que ferais-je sans elle ?Retournant mon regard vers le bipède qui était présent, je le regardais droit dans les yeux.

-Comme je vous disais, lorsqu'elle a confiance en quelqu'un, elle se calme directement.

Le jeune homme détailla quelques secondes son interlocutrice. Blonde, de taille modeste, le visage très doux. Un visage dans lequel on pouvait ressentir la tristesse du au départ de Pedigree. Il n'y eu qu'un court silence avant que la jeune femme lui réponde.

-O..Oui Mais comme vous pouvez le voir, elle est encore un peu amaigris à cause de son ancien propriétaire qui la battait.Le célèbre coureur, qui la montait souvent aux courses PMU, Louis Baudron.Depuis elle est un peu fougueuse et il lui faut du temps pour faire confiance à un humain...

Arnaud tourna la regard vers la jument. Cette dernière semblait avoir "écouté" la conversation, et c'était éloignée au grand galop, hennissant. Le jeune homme la détailla un peu. D'un bel alezan cuivré, la jument était bien typée dans sa race : pur sang Arabe. D'une taille plutôt petit, elle avait des jambes fines et un arrière main puissant peu commun dans la race, se qui lui avait certainement permis de s'illustrer sur les champs de courses. C'est sur que pour être vive, elle était vive cette jument! Le galop souple, allongé, plongé dans un bon rythme. Arnaud ne doutait pas qu'elle devait être un petit prestige en tant que cheval de course, et un bon plaisir à monter -même s'il se sentait tout de même plus à l'aise sur des chevaux de plus haute taille-. Il ne manque pas non plus de noter que la jeune femme avait raison : elle était un peu maigre.

- Elle semble tout de même détenir une bonne forme ...

Mais Sarah ne sembla pas l'avoir entendu, elle s'était éloignée, tentant de rattraper la fougueuse "Pedigree !Reviens !Ne crains rien, ma grande.". Arnaud resta prêt du van, cette jument était la sienne, elle n'avait certainement pas besoin de lui. Et c'était le cas, quelques courtes minutes s'écoulèrent avant que la jeune femme ramena Pedigree près du van, la tenant par la longe. "Làààà, ma grande, c'est fini.Calme toi, tu n'as rien a craindre." qu'elle confiance la jument avait en Sarah. C'était quelque peu, dommage, de briser un tel couple.
Le couple en question s'arrêta à quelques mètres de lui. Pedigree appuya sur lui un regard plein d'expression, il la sentait tout de même un peu méfiante. Sarah lui adressa quelques paroles, lui offrant d'avantage d'information sur la jument : "Comme je vous disais, lorsqu'elle a confiance en quelqu'un, elle le montre, comme maintenant...". Arnaud dévisagea pendant quelques secondes la jument qui ne cessait de la fixer, puis il baissa le regard. Il ne savait plus ou il avait apprit ça, mais il ne fallait jamais regarder longtemps un cheval dans les yeux. Le jeune homme plongea la main dans sa poche de jean arrière, en retirant une carotte.

- J'espère quelle aime ça!

D'un coup de dents, il coupa la carotte en deux. Il en prit un bout pour lui, et tendit l'autre morceau à la jument, la main bien à plat. Il resta tout de même un peu en arrière, hésitant de trop approcher ça main. Il ne craignait pas tellement que la jument le morde, mais il s'en voudrait que cette dernière cède à la méfiance plutôt qu'a la confiance. Et pour s'assurer que cela soit bien fait, elle devait s'approcher d'elle même d'Arnaud.

- Tiens ma belle, c'est pour toi.

La jeune blonde demandait à Arnaud de prendre son numéro de téléphone. Celui-ci s'exécuta, notant les 10 numéros sur un petit bout de papier qui traînait dans ça poche. Une fois cela fait, il la regarda s'éloigner en direction du van et monta dans la 4x4 qui le tractait. Le père de Sarah tourna la clé du contacteur, le véhicule démarra, puis s'actionna, prenant le chemin de la grille. Pedigree, paniquer, se lança à sa poursuite, la longe flottante derrière elle. Le véhicule dépassa la grille d'entrée, continuant son ascension sur la route. La jument s'arrêta, se cabra, puis rua. Elle était visiblement déconcertée. Arnaud pensait qu'il fallait faire en sorte que sa vie ici soit meilleur que tout se qu'elle avait connu jusqu'alors. Il s'avança vers la grille, appelant la jument.

- Pedigree! Par ici ma belle.

Pedigree avait pivoté sur ses postérieurs et c'était avancée jusqu'à lui. A un mètre de lui, elle se figea. Le jeune homme avait remarquer un certain déséquilibre dans sa marche, il lui caressa l'encolure, observateur. Elle était appuyer avec incertitude sur ses quatre membres tremblants, ses flancs étaient légèrement creusés, sa respiration rapide. Il détecta aussi de la sueur sur ses flancs. L'inquiétude de la colique le prit, mais il n'eut pas le temps d'emmener Pedigree au vétérinaire. La jument c'était couchée en vache au milieu de la cour, jetant un bref regard là ou le 4x4 avait disparue. Arnaud s'agenouilla à sa tête, saisis la longe du licol qui traînait dans la poussière, un montant du licol, et tira vers le haut sans brutalité, tentant de faire se redresser sa protégée.

- Non ma belle, ne t'allonge pas, reste debout!

Le jeune savait que des coliques pouvaient être très souvent mortelles. Il savait aussi que de faire marcher l'animal était un bon moyen de faire se débouché ses intestins. Seulement, si celui-ci était déterminé à rester au sol, c'était signe qu'il n'avait peu de chance de s'en tirer ... . L'espace de deux secondes, il jeta un regard au même endroit que la jument l'avait fait précédemment : au delà de la grille d’entrée. Mais à la différence de l’alezane cuivrée, le regard du garçon était dur, coléreux. La jeune Sarah était à peine partie que la jument s'écroule au milieu de la cour avec les signes manifestes d'une coliques -bien que celle-ci ne regardait pas encore ses flancs, le jeune garçon en était quasiment sur-. Que ce que Pedigree avait bien put avalée? Un seau d'eau glacée? De l'herbe laissée macérée? Arnaud gronda à l'intérieur de lui même, bouillant de colère. Il fallait appelé le vétérinaire, mais hors de question de laissé Pedigree allongée ici toute seule en plein soleil. Il fallait qu'elle se relève!
Le jeune homme tira de plus belle sur la longe et le montant. Voyant son geste inutile, il lâcha le montant et plongea l'un de ses bras sous l'encolure de la jument, l'autre main agrippant la crinière. Et d'un geste désespéré, il tira de nouveau, priant pour que la jument se redresse.

- Allé Pedigree tu peux le faire. Redresse-toi!

[Hidalgo intervient (tu vas voir la méthode pour chopper un véto quand un cheval est encore un poulain !)]

Je n'arrive pas à me lever...J'ai vraiment très mal, je décida de fermer mes yeux pendant quelques instants puis me servis de la force qui me restais pour retenter de me levée et réussis je hennis, fière de moi et avança vers l'endroit où était garé;précédemment, le van qui m'avait amenée ici.Je ne fis que quelques mètres puis re-trembla et fini encore couchée parterre.Je n'en peux plus, j'abandonne !Tant pis !Retenez bien ça : je ne bouge plus !Jetant un regard effrayé au bipède,j'entendis un cheval arriver je regarda vers les écuries et vis : un poulain qui s'était échappé !Le jeune bai vient vers moi et me regarda.Il comprit que j'étais mal en point et fila.Fatiguée je referme les yeux et hennis vers l'humain d'un air de dire "pas la peine, je ne bougerais plus !Y a qu'à demandé à ce poulain !"

[désolée c'est court]
| Place à Hidalgo ; |

Le jeune poulain qu'Hidalgo était, avait encore fait des siennes mais pour de bonnes raisons il avait entendu une jument qui hennissait et lorsqu'il avait vu la pur sang arabe étendue au sol, il avait tout de suite comprit et avait filé vers le bipède.Le poulain avait vu dans les yeux de la jument ; de la peur et dans ceux de l'humain ; de la colère et de la peur...Le rejeton fila vers les écuries au galop et jusque vers le cabinet du véto où il vit celui-ci,le tirant par son tee-shirt Hidalgo tentait de le forcer à le suivre ou de lui faire comprendre que la baie avait besoin d'aide.

[vraiment court, c'est pathétique ce que je suis capable de faire en RP en ce moment !]

a technique qu'employa le brun commença à fonctionner : la petite alezane brûlée se redressa sur ses jambes. L'espace d'une seconde, Arnaud fut comme soulagé. Il serra bien fort la longe entre ses doigts, tenant la jument au plus court, décidé à ne pas lâcher ça petite protégée. Fière d'elle, Pedigree poussa un hennissement, puis maladroite sur ses jambes, fit quelques pas en avant et s'arrêta près de l'endroit ou les traces de pneus du van étaient encore visible. Le jeune homme, solidement accroché à la longe, l'accompagna dans le mouvement. Il lui caressa l'épaule, tentant de lui redonner le courage de rester sur ses jambes. Peine perdu! Pedigree, après un tremblement trahissant nettement la force qu'il lui restait, tomba de nouveau sur les genoux, replia ses membres sous elle et s'allongea de nouveau, affaiblie.
Arnaud eu comme un pincement au cœur. Etait-ce de la peur ou simplement l'image de la petite jument épuisé sur le sol qui lui procurait un tel mal? Il ne serait le dire. Le brun vit Pedigree relever la tête. Elle le scruta de son regard de verre, un regard faible, éteint. Il s'accroupit à côté d'elle, lui caressa doucement le chanfrein, en silence. Que pouvait-il faire d'autre, seul au milieu de la cour? Prendre son portable pour téléphoné au vétérinaire? Si seulement il l'avait prit, son portable! Sur l'instant, le jeune homme se maudissait pour son oublie, cédant au désespoir; lorsque soudain des bruits de sabots résonnèrent dans son dos. Bien trop faible pour qu'il s'agisse d'un cheval adulte, il s'agissait donc certainement d'un poulain. Le brun se retourna vivement, étonné. Que ce qu'un poulain fabriquait en toute liberté dans l'enceinte de l'établissement? Il ne s'attarda pas sur la question. Il suivit du regard le petit animal bai qui, après s’être approcher du duo, c’était arrêter à quelques pas. L’espace de deux secondes, le petit animal fixa la belle arabe couchée au sol, puis fit demi tour et s’éloigna rapidement au galop. Pedigree ferma les yeux, hennissant à l’intention du jeune homme, mais celui-ci n’y prit pas attention : il continua à fixé le petit derrière bai du poulain. Est-ce qu’il rêvait, ou le petit animal se dirigeait bien vers la bâtiment du vétérinaire, comme s’il comprenait la situation ? Tout d’abord totalement abasourdit, puis soudain animé d’un soulagement profond, Arnaud flatta l’encolure de la jument.

- Reste calme ma belle, j’ai comme la franche intuition que les secours arrive.

Le jeune homme jeta un bref regard au poulain qui continuait de s’éloigner. Il ne savait pas comment se petit avait été guider jusqu’ici, mais même en étant pas croyant, au fond de lui même, il remerciait le bon Dieu !

Les yeux toujours fermés, je les ouvris brusquement voyant le poulain tenu par un palefrenier, surement, qui remarqua la présence du bipède et la mienne aussi, après avoir remit le poulain dans son box il courut vers l'endroit où nous étions.Et s'adressa à son congénère.

< Eh, il y a un problème ?C'est la jument qui était censée arriver il y a un quart d'heure, qu'est-ce qu'elle a ? >

Il se baissa et passa sa main sur mon encolure, je lui choppa la main pour le faire renoncer.Il se leva et vérifia sa montre puis un chien, avec un drôle d'oiseau sur la tête, déboula.Le drôle d'oiseau imitait un bruit (le machin des pompiers)

< -ATTENTION !!Laissez passer l'ambulance !Bonjour jeune homme, qu'est-ce que je peux faire pour vous ?Euh...Pardon qu'est-ce que l'on peut faire pour vous ?(parlant à la chienne) Voilà, contente ?>

Je sais pas qui c'est mais il m'énerve !Quel prétentieux, il se retourne vers le bipède et puis le fixe.

< -Saperlipopette !La patronne doit nous attendre, ce fut un plaisir de vous rencontrer, jeune homme !A bientôt !>

Le palefrenier reparla à son collègue.

< Bon alors, qu'est-ce qu'elle a cette jument ? >

uelques minutes s'écoulèrent avant que le poulain réapparaisse, un palefrenier solidement accrocher à son licol. Après un bref coup d'œil en la direction du jeune homme et de sa protégée, l'homme tira le poulain jusque dans les écuries d'un pas hâté. Tout deux disparurent de la vue d'Arnaud quand ils passèrent derrière la porte du bâtiment. Le brun n'avait pas besoin d'un dessin pour comprendre qu'il était allé remettre le frêle poulain dans son box, et il allait certainement en profité pour bien verrouillé la porte. Un poulain en liberté, cela pouvait être dangereux pour lui ... et Arnaud n'aimerait pas qu'il arrive quelques choses à leur, hum ... sauveur ?
A peine une minutes après, le palefrenier réapparut aux portes des écuries. C’est en courant qu’il s’approcha du brun, la jument était toujours couchée en vache sur le sol. L’homme s’arrêta à côté d’Arnaud, demandant avec une pointe d’inquiétude dans la voie « Eh, il y a un problème ?C'est la jument qui était censée arriver il y a un quart d'heure, qu'est-ce qu'elle a ? ». Il y a un problème ? Non non, tout vas bien, on avait seulement envie de se reposer sur le gravier, Pedigree et moi … Arnaud sentit la colère monter en lui. Tout en parlant, le palefrenier avait tenté de toucher la jument. Mais Pedigree lui fit renoncé à son idée à coup de dents. Et bien ! Même avec les intestins en compote, elle gardait un beau caractère la petite alezane. Arnaud prit ça pour un signe d’espoir, ce qui le calma aussitôt. A l’instant ou il se préparait à répondre, une chien, munit d’un perroquet sur la tête, s’approcha d’eux. Le perroquet était entrain de chanter une grotesque imitation de sirène de pompier. Lorsqu’il posa le regard sur le petit groupe, l’animal s’adressa à eux « -ATTENTION !!Laissez passer l'ambulance !Bonjour jeune homme, qu'est-ce que je peux faire pour vous ?Euh...Pardon qu'est-ce que l'on peut faire pour vous ? Voilà, contente ? » .

- Que ce que … ?

L’espace de deux secondes, Arnaud fut perplexe, dévisageant les deux animaux comme s’il s’agissait là d’une mise en scène. Il sentit le regard de l’alezane se posé sur lui, s’y fixer. A taton, il lui passa une main dans la crinière, puis le perroquet reprit la parole « -Saperlipopette !La patronne doit nous attendre, ce fut un plaisir de vous rencontrer, jeune homme !A bientôt ! ». Le brun regarda le duo s’éloigner en silence, lorsque là voie du palefrenier lui rappela l’urgence du moment « Bon alors, qu'est-ce qu'elle a cette jument ? ». Arnaud tourna son regard océan sur son interlocuteur, puis répondit d’une voie calme, mais forte, trahissant sa panique intérieur.

- J’ignore se qu’elle à avalée, mais elle est atteinte de coliques. Il faut rapidement l’intervention d’une personne compétente. Allez chercher le vétérinaire !